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Mondial 2026 : prédictions explosives, duels de titans et groupes sous haute tension

Mondial 2026 : prédictions explosives, duels de titans et groupes sous haute tension

Le tirage au sort du Mondial 2026 a livré son verdict à Washington et les verdicts tombent : les analystes d’ESPN passent au crible les douze groupes d’une compétition qui s’annonce électrique. Entre le choc Mbappé-Haaland, les retrouvailles Brésil-Maroc et les pièges tendus aux favoris, voici les prédictions les plus attendues pour la Coupe du monde aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

Le rideau est tombé sur le suspense. Après une cérémonie interminable au John F. Kennedy Center de Washington, le monde du football connaît enfin la carte des hostilités pour le Mondial 2026. Et autant le dire d’entrée : cette édition à 48 équipes réserve des affrontements absolument savoureux. Des duels qui font déjà saliver, des outsiders prêts à mordre, et une certitude : rien ne sera simple, même pour les géants.

Groupe A : le Mexique sous pression devant son public

Le Mexique peut-il encore compter sur sa tradition ? Voilà la question qui brûle toutes les lèvres. Historiquement, les nations organisatrices bénéficient d’un tirage clément. Cette fois, El Tri a effectivement évité le pire. L’Afrique du Sud, classée 61e mondiale, arrive en lambeaux après des éliminatoires catastrophiques marquées par une déduction de points pour alignement irrégulier. La Corée du Sud, invaincue lors des qualifications asiatiques, représente un tout autre calibre et se profile comme le candidat naturel à la deuxième place.

Mais attention : le football mexicain traverse une crise de confiance. Les résultats récents sont inquiétants. Javier Aguirre sait qu’une défaillance face aux Sud-Africains pourrait transformer le match suivant contre les Coréens en cauchemar éveillé. La pression locale sera énorme. Et si Santi Giménez affrontait Son Heung-min à Zapopan, ce serait bien plus qu’un match de poules : un duel entre générations, entre espoir et expérience.

L’inconnue reste le vainqueur du barrage européen D. Le Danemark est favori, mais sa défaite surprise face à l’Écosse a rappelé que rien n’est jamais acquis. Si les Danois passent, le Mexique devra hausser le ton. Sinon, la qualification pourrait être plus confortable. Mais rappelez-vous : depuis 2010, les hôtes ne sont plus invincibles. Le tabou peut-il frapper à nouveau ?

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Mexique 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Afrique du Sud 0 0 0 0 0 0 0 0
3 République de Corée 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Barragiste 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe C : quand le Brésil redoute le Maroc

Parlons franchement : le groupe C s’annonce comme l’une des bagarres les plus intenses de ce premier tour. Carlo Ancelotti ne s’y est pas trompé. Dès la fin du tirage, le sélectionneur brésilien a désigné le Maroc comme « l’adversaire le plus dangereux » du groupe. Une déclaration qui en dit long sur le respect qu’inspire désormais la sélection africaine.

Les Lions de l’Atlas ont changé de statut depuis leur parcours historique au Qatar en 2022, où ils sont devenus la première nation africaine à atteindre les demi-finales d’un Mondial. Menés par Walid Regragui, ils jouent désormais avec une maturité tactique qui fait trembler les géants. Achraf Hakimi, Yassine Bounou, Sofyan Amrabat : les noms claquent et font peur. Le Brésil, lui, cherche à tourner la page d’une élimination traumatisante en quarts de finale au Qatar.

L’Écosse revient au Mondial pour la première fois depuis 1998. Les Écossais ont montré du caractère lors des barrages, mais n’ont jamais réussi à franchir le cap du premier tour en huit participations. Cette fois pourrait-elle être la bonne ? Avec Haïti, qui dispute son premier Mondial depuis 1974, le groupe C offre un mélange détonnant d’ambitions renouvelées et de rêves portés par toute une nation caribéenne.

Le choc d’ouverture Brésil-Maroc le 13 juin à New York-New Jersey promet déjà des étincelles. Car oui, ces deux équipes se sont déjà affrontées récemment : victoire marocaine 2-1 en 2023. Un souvenir qui chatouille encore les Brésiliens. Et puis, ce groupe a des airs de 1998, quand ces trois mêmes nations – Brésil, Maroc, Écosse – s’étaient déjà croisées en France. Vingt-huit ans plus tard, les Lions de l’Atlas veulent prendre leur revanche.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Brésil 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Maroc 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Haïti 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Écosse 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe I : le duel du siècle entre Mbappé et Haaland

La France a hérité d’un tirage relevé avec le Sénégal, la Norvège d’Erling Haaland et un barragiste intercontinental qui sera soit l’Irak, soit la Bolivie, soit le Suriname. Pour Didier Deschamps, c’est clair : ce groupe I fait partie des plus compliqués de la compétition.

Commençons par la Norvège. Ils ont tout simplement écrasé leurs adversaires lors des qualifications européennes. Huit victoires en huit matchs. 37 buts inscrits, dont 16 signés Erling Haaland. Le cyborg de Manchester City a porté son pays à lui tout seul, ou presque. Martin Ødegaard, capitaine d’Arsenal, tire les ficelles au milieu. Alexander Sørloth complète une attaque de feu. Et face à eux ? Kylian Mbappé, bien sûr.

Le duel Haaland-Mbappé fait rêver, même si la Norvège n’atteint pas le niveau global de la France, selon l’ancien champion du monde Bixente Lizarazu. Mais attention aux apparences : les Norvégiens pratiquent un football direct, physique, qui a toujours posé des problèmes aux Bleus dans l’histoire. Et puis, Ståle Solbakken sait organiser une équipe pour maximiser l’impact de son buteur vedette.

Le Sénégal constitue un autre défi sérieux. Les Lions de la Téranga ont certes perdu de leur superbe depuis leur sacre à la CAN 2021, mais ils restent redoutables. Pape Thiaw, le sélectionneur, joue la carte du collectif. Nicolas Jackson, Ismaïla Sarr, Iliman Ndiaye : la nouvelle génération pousse fort. Et puis, il y a ce souvenir douloureux de 2002, quand le Sénégal avait battu la France en match d’ouverture. Vingt-quatre ans après, la revanche des Bleus ?

La France jouera tous ses matchs sur la côte Est américaine – Boston, Philadelphie, New York. Un avantage logistique non négligeable. Mais sur le papier, ce groupe exige le respect. Deschamps l’a d’ailleurs admis : « Ça aurait pu être pire, mais c’est un groupe dense, solide. »

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 France 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Sénégal 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Barragiste 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Norvège 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe D : les États-Unis ont-ils décroché le gros lot ?

Si vous êtes Mauricio Pochettino, vous souriez en découvrant ce tirage. Les États-Unis ont clairement évité les écueils les plus dangereux. Le Paraguay, sixième des éliminatoires sud-américaines, constitue la menace principale. L’Australie a peiné à se qualifier, avec une défaite contre Bahreïn et un nul embarrassant face à l’Indonésie. Et le quatrième larron reste inconnu jusqu’en mars : la Turquie, la Roumanie, la Slovaquie ou le Kosovo.

Si la Turquie passe, le groupe change complètement de visage. Arda Güler au Real Madrid, Kenan Yıldız à la Juventus : les jeunes prodiges turcs pourraient bien bousculer la hiérarchie. Mais même dans ce scénario, les Américains restent favoris. Le match d’ouverture contre le Paraguay au SoFi Stadium de Los Angeles, le 12 juin, donnera le ton. L’occasion de lancer une dynamique, devant un public conquis d’avance.

Attention tout de même à ne pas sous-estimer les Guaraníes. Lors des qualifications, ils n’ont encaissé que dix buts – autant que l’Argentine. Leur défense, organisée et rugueuse, peut faire dérailler n’importe quelle attaque. Pochettino devra préparer ses hommes à cette confrontation physique dès le premier coup de sifflet.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 États-Unis 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Paraguay 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Australie 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Barragiste 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe E : l’Allemagne peut-elle enfin se relancer ?

Après deux désillusions monumentales en 2018 et 2022, l’Allemagne revient avec une ambition claire : redevenir une puissance mondiale. Julian Nagelsmann a bâti une équipe jeune, séduisante, mais qui peine face aux très grosses nations. Les récents revers contre la France et le Portugal l’ont rappelé cruellement.

L’Équateur représente un défi tactique majeur. Les Équatoriens ont brillé lors des éliminatoires, terminant devant le Brésil. Leur défense, articulée autour de Moisés Caicedo au Chelsea, Piero Hincapié à Arsenal et Willian Pacho au PSG, est l’une des meilleures du continent. Face à l’Argentine et au Brésil, ils ont encaissé un seul but en quatre rencontres. Impressionnant.

La Côte d’Ivoire revient douze ans après sa dernière apparition. Finis les temps de la génération dorée avec Drogba, Touré et Kalou. Mais cette équipe reste compacte et dangereuse. Curazao, dirigé par l’expérimenté Dick Advocaat, complète un groupe où l’Allemagne ne pourra se permettre aucun relâchement. Si Jamal Musiala retrouve son niveau après blessure et si Florian Wirtz continue sa progression éclatante, les Allemands peuvent aller loin. Mais ce groupe ne sera pas une promenade de santé.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Allemagne 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Curaçao 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Côte d’Ivoire 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Équateur 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe G : la Belgique face à ses vieux démons

Peut-on encore croire en la génération dorée belge ? C’est la question que tout le monde se pose en découvrant le groupe G. Kevin De Bruyne a 34 ans. Romelu Lukaku et Thibaut Courtois approchent aussi de la fin. Mais Jérémy Doku, l’ailier explosif de Manchester City, pourrait bien être l’arme secrète de cette dernière chance.

L’Égypte, menée par Mohamed Salah, arrive avec des ambitions légitimes. Le champion d’Afrique 2021 possède une ossature solide et un buteur de classe mondiale. L’Iran, 20e au classement FIFA, ne doit pas être pris à la légère. En 2022, les Iraniens ont failli se qualifier malgré un groupe difficile. La Nouvelle-Zélande, enfin, reste un outsider capable de surprises, comme en 2010 face à l’Italie.

Le duel De Bruyne-Salah promet des frissons. Deux légendes de la Premier League qui se sont affrontées des années durant sous les couleurs de Manchester City et Liverpool. Ce Mondial 2026 pourrait bien être leur chant du cygne sur la scène internationale. L’occasion de marquer une dernière fois l’histoire.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Belgique 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Égypte 0 0 0 0 0 0 0 0
3 RI Iran 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Nouvelle-Zélande 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe H : l’Espagne peut-elle tout gagner ?

Luis de la Fuente a transformé la Roja en machine offensive implacable. Depuis sa prise de fonction, les Espagnols ont affiché une constance étourdissante. Seule la finale de Ligue des Nations contre le Portugal a échappé à leur domination totale. Et Lamine Yamal, prodige du FC Barcelone, est convaincu que son équipe peut remporter le trophée.

L’Uruguay de Marcelo Bielsa constitue l’obstacle principal. Les Uruguayens ont montré de belles choses en début de mandat du technicien argentin, avant de connaître quelques turbulences. Federico Valverde porte le brassard. Darwin Núñez et Luis Suárez (si sélectionné) offrent des solutions offensives variées. Mais face à l’Espagne, il faudra jouer avec intensité et agressivité pour espérer contrarier le rythme ibérique.

Le Cap-Vert dispute son tout premier Mondial. Les Capverdiens ont survolé leurs qualifications et possèdent des joueurs de qualité comme Logan Costa, défenseur du PSG. L’Arabie Saoudite, dirigée par le Français Hervé Renard, tentera de rééditer ses exploits passés. Mais objectivement, l’Espagne devrait dominer ce groupe sans trop trembler. À moins que Yamal, attendu comme le phénomène du tournoi, ne trébuche avant l’heure ?

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Espagne 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Cap-Vert 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Arabie saoudite 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Uruguay 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe J : l’Argentine et le dernier bal de Messi

Tout le monde ne parle que de ça : Lionel Messi sera-t-il présent ? Le champion du monde 2022 n’a pas encore tranché. Lionel Scaloni, le sélectionneur argentin, reste diplomatique : « Il décidera, et nous soutiendrons sa décision. » Si la Pulga décide de fouler une dernière fois les pelouses d’un Mondial, ce groupe J deviendra instantanément le plus suivi de la compétition.

L’Autriche de Ralf Rangnick arrive avec un plan de jeu clair : pression incessante, pressing ultra-agressif. Les Autrichiens n’ont pas participé à un Mondial depuis 1998, mais ils ont fini par arracher leur qualification lors d’un match décisif face à la Bosnie-Herzégovine. Face à l’Argentine, ce sera une épreuve de feu.

L’Algérie, avec Riyad Mahrez et Islam Slimani, possède encore de l’expérience. Mais c’est Mohamed Amoura qui a porté l’attaque algérienne lors des qualifications. La Jordanie, novice absolu sur la scène mondiale, complète le groupe. Pour eux, chaque seconde passée sur le terrain sera historique.

Si l’Argentine termine première, elle évitera les autres géants jusqu’en quarts de finale. Un avantage stratégique non négligeable pour cette équipe qui vise un doublé historique. Mais gare au relâchement : l’Autriche ne viendra pas en victime expiatoire.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Argentine 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Algérie 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Autriche 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Jordanie 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe K : Ronaldo et son ultime quête

Cristiano Ronaldo a 40 ans. Il continue de marquer pour Al-Nassr en Arabie Saoudite et s’approche de la barre mythique des 1000 buts en carrière. Ce Mondial 2026 sera-t-il vraiment son dernier ? Personne n’ose encore y croire totalement, mais tous les signaux convergent. Roberto Martínez, le sélectionneur portugais, continue de compter sur lui comme attaquant titulaire.

La Colombie représente le gros morceau du groupe K. Les Cafeteros possèdent des joueurs de classe mondiale comme Luis Díaz et Bruno Fernandes… Non, pardon, Fernandes joue bien pour le Portugal ! James Rodríguez, s’il est sélectionné, apportera sa touche de génie. Le match Portugal-Colombie déterminera probablement le vainqueur du groupe.

L’Ouzbékistan, entraîné par la légende italienne Fabio Cannavaro, 55e au classement FIFA, ne devrait pas inquiéter les deux favoris. Le dernier adversaire reste à déterminer : RD Congo, Jamaïque ou Nouvelle-Calédonie. Quel que soit le vainqueur, ce groupe devrait sourire aux Portugais et aux Colombiens.

Mais ne nous y trompons pas : Ronaldo joue pour l’histoire. Il manque un seul trophée à son palmarès déjà délirant. Et la FIFA, en réduisant sa suspension après son carton rouge contre l’Irlande, lui a offert la possibilité d’être présent dès le premier match. Coïncidence ?

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Portugal 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Barragiste 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Ouzbékistan 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Colombie 0 0 0 0 0 0 0 0

Groupe L : l’Angleterre et le fantôme de 2018

Thomas Tuchel retrouve des fantômes. En 2018, l’Angleterre avait écrasé le Panama 6-0 avant de voir la Croatie briser ses espoirs en demi-finale lors d’une prolongation cruelle. Huit ans plus tard, les Three Lions affrontent à nouveau ces deux nations. Une occasion de régler des comptes ?

La génération dorée croate a vieilli, même si Luka Modrić continue de jouer à 40 ans. Mais Joško Gvardiol de Manchester City et Josip Stanišić du Bayern Munich assurent la relève défensive. Les Croates restent dangereux, organisés, coriaces. Ils ont atteint les trois derniers carrés lors des deux derniers Mondiaux. Peut-on encore les ignorer ?

Le Ghana, 72e mondial, reste une équipe capable de belles choses. Mohammed Kudus de Tottenham peut faire mal. Jordan Ayew, à 34 ans, apporte son expérience. Quant au Panama, son style de jeu basé sur la possession pourrait surprendre face à des adversaires théoriquement plus forts.

L’Angleterre part favorite. Mais Tuchel sait que la Premier League ne gagne pas les Mondiaux. Il faudra du caractère, de la discipline, et surtout éviter les erreurs tactiques qui ont coûté si cher lors des dernières grandes compétitions. Le match d’ouverture contre la Croatie, le 17 juin, donnera immédiatement le ton.

Pos Pays MJ G N P BP BC DB Pts
1 Angleterre 0 0 0 0 0 0 0 0
2 Croatie 0 0 0 0 0 0 0 0
3 Ghana 0 0 0 0 0 0 0 0
4 Panamá 0 0 0 0 0 0 0 0

Les prédictions finales : qui va surprendre, qui va décevoir ?

Maintenant que tous les groupes sont connus, que peut-on anticiper ? L’Espagne et la France figurent parmi les favoris absolus. L’Argentine vise le doublé historique. Le Brésil cherche à renouer avec la gloire perdue. L’Angleterre veut enfin transformer l’essai.

Mais les vraies histoires de ce Mondial 2026 pourraient bien s’écrire ailleurs. Le Maroc peut-il aller encore plus loin qu’en 2022 ? La Norvège d’Haaland va-t-elle enfin montrer son vrai visage sur la scène mondiale ? L’Équateur est-il prêt à bousculer les géants européens ?

Ce format à 48 équipes change radicalement la donne. Les huit meilleurs troisièmes se qualifient pour les seizièmes de finale. Ça ouvre des possibilités folles. Des outsiders peuvent tenter leur chance sans trembler. Des nations comme Haïti, la Jordanie ou Curazao vivront un rêve éveillé. Pour elles, chaque point sera une victoire.

Une chose est certaine : du 11 juin au 19 juillet 2026, le football va s’emparer de l’Amérique du Nord comme jamais. Les enjeux logistiques seront immenses – trois pays, des distances folles, des décalages horaires à gérer. Mais sur le terrain, c’est bien la magie du ballon rond qui parlera. Et avec des duels comme Mbappé-Haaland, De Bruyne-Salah ou Brésil-Maroc, on tient déjà quelques-unes des affiches les plus délicieuses de l’histoire récente du Mondial.

Alors, qui soulèvera le trophée le 19 juillet au MetLife Stadium ? Réponse dans quelques mois. En attendant, les débats sont ouverts, les paris lancés, et les espoirs intacts. Bienvenue dans le Mondial de tous les possibles.

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